Plus de 9 millions de français vivent seuls en France après une séparation, un divorce ou un veuvage. Pour rompre avec la solitude, certains d’entre eux, après 40 ans, ont envisagé la colocation pour une vie plus agréable à 2 ou 3 personnes sous un même toit. Jusqu’à présent, on retrouvait ce mode de vie partagé plutôt chez les étudiants, de nos jours, les adultes et les seniors s’y intéressent également.
Vivre à plusieurs, mais avec qui ?
Pour qu’une colocation fonctionne, les futurs colocataires doivent être de la même tranche d’âge. Quand il y a trop d’écart entre les âges, les modes de fonctionnement, au quotidien, sont différents et pas forcément compatibles.
Choisir également, autant que possible, des personnes de la même catégorie socio-culturelle, ce qui permettra d’avoir des centres d’intérêts communs.
Nous conseillons, avant de s’engager dans les démarches auprès des bailleurs, que les futurs colocataires prennent le temps de passer quelques jours ensemble pour tester leurs niveaux de cohabitation.
Agrément d’un nouveau colocataire en cas de départ de l’un deux.
Tout nouveau colocataire devra être agrée par les autres colocataires dans les conditions prévues pour les décisions des associés.
Il devra aussi être présenté au bailleur et accepté par celui-ci.
Quel type de logement ?
Le logement doit comporter des espaces de vie privés (chambre et salle d’eau privative) et des espaces communs (cuisine, salon, séjour) où les colocataires trouveront plaisir à se rencontrer.
Établir une charte ?
Nous conseillons également, dans le cas d’une création d’une colocation dans un logement, d’établir un « charte entre colocataires » qui permettra d’établir les droits et les devoirs de chaque cohabitant.